complément d’informations sur la petite enfance

Publié le par BJP

Le 20 février 2008 

Par  Sandrine Ruch, Audrey Schellenberger, et Véronique Soliveau,


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Ce que nous voulons pour Ingwiller c’est faire en sorte que notre ville retrouve une attractivité et que nous trouvions en particulier les solutions pour que nous soyons en mesure de proposer des structures mieux adaptées à l’éveil de nos enfants.
 
Nous avons participé à toutes les réunions de groupe mais nous nous sommes également retrouvées à de nombreuses reprises en petits comités de travail.
 
Le thème que nous souhaitions approfondir est celui de la petite enfance.
 
En raison de la croissance démographique que connaît notre  ville, nous devons nous doter de nouvelles structures en vue de la prise en charge des plus petits.
 
Bien sur nous avons une Halte garderie ainsi qu’un accueil périscolaire au sein de notre commune, mais cela est insuffisant. 

Allons encore plus loin en proposant la construction d’une Crèche.
 
Nous nous en expliquons :
 
La halte garderie ne peut être considérée que comme un mode de garde dit « de dépannage ». Les enfants y ayant accès ne peuvent y séjourner qu’au maximum 4 demi-journées par semaine ou 2 journées par semaine. Son principe de fonctionnement veut que seuls les enfants dont au moins 1 parent ne travaillant pas y ait accès (ce principe est le même pour toutes les haltes garderies et ne constitue pas en cela une exception).
 
Ceci implique que lorsque les 2 parents travaillent, ils ne peuvent pas avoir recourt à un tel mode de garde.
 
Nous avons dans notre ville un bon nombre de d’assistantes maternelles. (Environ 50 dont plus de la moitié ne sont plus disponibles). Ce mode de garde fonctionne bien mais il est insuffisant puisque plus de la moitié de ces assistances sont déjà prises.
 
Le périscolaire quant à lui ne peut avoir vocation à la garde des tous petits.
 
Avec environ 407 naissances sur notre commune depuis 2000 il est impératif de proposer au plus grand nombre des parents actifs une structure plus adaptée.
 
Une crèche collective accueille généralement 15 à 30 enfants, âgés de deux mois à trois ans (parfois jusqu'à quatre ans dans certaines crèches), dans un cadre spécialement conçu pour les plus petits. Répartis par tranche d'âge, ils sont encadrés par des professionnels : auxiliaires de puériculture, éducatrices de jeunes enfants et puéricultrices.
 
Idéal pour tous les budgets, le coût de ce mode de garde est calculé en fonction des ressources et du nombre d'enfants que l’on souhaite faire garder. De plus, les parents peuvent bénéficier d'une réduction d'impôts.
 
Les crèches sont financées en partie par le département. Des subventions au niveau de la CAF, notamment dans le cadre du contrat « enfance et jeunesse »  existent également.
 
La commune n’a pas vocation à gérer une telle structure mais elle se doit de proposer à ses habitants des alternatives aux modes de garde qu’ils ne peuvent s’offrir ou auxquels ils n’ont simplement pas accès. 
D’autant plus que nos jeunes papis et mamies travaillent de plus en plus longtemps et le moment venu, souhaitent profiter pleinement de leur retraire (et ils ont bien raison) plutôt de que de jouer aux baby sitters toute la semaine !
 
Notre ambition commune lorsque nous avons entamé nos réunions de groupe était d’apporter un souffle nouveau à notre ville.
 
Malgré les doutes que nous avons eus face à la lourdeur de la tâche à accomplir en cas de victoire, nous avons, au fil des semaines su trouver notre place au sein de la liste conduite par Jean Paul Boesinger. Grâce à l’écoute dont les personnes plus expérimentées ont fait preuve à notre égard nous avons compris dès les premières réunions que nous serions capables d’apporter notre pierre à l’édifice, et de trouver notre place au sein d’une équipe municipale, si vous nous accordez votre confiance le 9 mars.
 
« Habitant à Ingwiller depuis toujours, j’aimerai que la ville soit plus accueillante, plus attractive. Je pense qu’à un moment donné quand on veut que les choses bougent et avancent, il ne faut pas avoir peur de ‘mettre la main à la pâte’ et de relever ses manches. 
Il faut s’investir soi-même sans oublier que seul on n’arrive pas à grand-chose. C’est de cette manière, en avançant main dans la main, que nous pourrons construire ensemble, la ville dans laquelle les gens auraient envie de venir s’installer parce qu’il y fait bon vivre. 
J’aimerai que chaque personne, qu’elle soit jeune ou moins jeune et quel que soit son statut social ou son origine, puisse trouver sa place à Ingwiller. » Véronique Soliveau.
 
« Je suis honorée et fière de faire partie de la liste de Jean Paul Boesinger. Très motivée par cet engagement, je souhaite m'investir pleinement afin que les habitants d'Ingwiller apprécient encore davantage de vivre dans notre commune.
Maman de deux jeunes enfants, un projet me tient particulièrement à coeur : " la Petite Enfance".

Les structures d'accueil existantes sont insuffisantes et une ville comme Ingwiller mérite et nécessite la création d'une crèche.
Lors de nos réunions chacun participe et apporte une pierre à l’édifice. Ce sont de vrais moments de partage d’idées, de dialogue.
Lorsque notre programme sera connu par tous, je suis persuadée que nous obtiendrons l’approbation des électeurs pour notre projet, parce que notre ville en a besoin ».Sandrine RUCH
 
 
« Je suis la plus jeune de la liste mais dès les premières réunions je me suis rendue compte à quel point il était important pour chacun de s’engager pour notre commune.
J’ai choisi de travailler sur le sujet de la petite enfance parce que je pense que cela peut apporter ‘un plus’ à notre ville. Beaucoup de parents sont à la recherche d’une aide pour faire garder leurs enfants. Or les possibilités de garde se font de plus en plus rares. Je suis sûre que la création d’une crèche apporterait un renouveau à la commune, et cela inciterait peut-être les gens à venir s’installer dans notre ville plus facilement. Je suis vraiment très motivée à l’idée de participer à l’évolution d’Ingwiller. Ce n’est qu’ensemble que nous pouvons faire changer les choses ». Audrey SCHELLENBERGER
 
 
 
 

Publié dans Notre programme!

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